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10 janvier 2012 2 10 /01 /janvier /2012 23:16

Bonsoir,

 

Cela faisait longtemps que je trouvais mon blog trop sombre, comme ma vie, et ma maison !

Aussi chose est faite : de la clarté ! J'espère que cela vous plaira et que ce sera d'ailleurs plus lisible...

 

Aujourd'hui, je n'ai pas envie de parler avec mes mots mais de me "servir" de de ceux d'un autre... (un plus connu que moi !!!!)

Donc voici :

 

Le conte de l'arc-en-ciel et des émotions

 

Il était une fois une jeune fille qui n'osait jamais dire ses émotions.

A personne, et surtout, surtout pas à ceux qu'elle aimait.

Bien sûr, il n'est pas toujours facile de dire ses émotions car des fois cela déborde. Il y a alors des pleures, des sanglots ou des rires, des fous rires, des sueurs, du chaud, du froid, bref, plein de choses qui se bousculent dans le corps.

Il y a aussi les réactions de l'entourage... qu'elle imaginait :

-Qu'est-ce qu'ils vont penser de moi, qu'est-ce qu'ils vont dire ...?

Et puis, pour oser parler de ses émotions, il faut déjà les connaître. Vous les connaissez, vous vos émotions ? Essayez déjà de m'en dire trois pour voir...

Bon la question n'est pas là, puisque je raconte l'histoire de la jeune fille qui ne savait pas dire ses émotions.

Un jour qu'elle rêvait éveillée dans son lit, en regardant le ciel, à imaginer les bonheurs qu'elle pourrait avoir dans sa vie, elle vit au-dessus d'elle un magnifique arc-en-ciel.

Mais ce qu'il y avait d'étonnant dans cet arc-en-ciel, c'est qu'il possédait une huitième couleur, la couleur noire. C'est très rare un arc-en-ciel avec huit couleurs. Et soudain, elle comprit. Elle comprit tout, elle sut comme cela le nom des émotions qu'elle avait en elle. Grâce aux couleurs de l'arc-en-ciel. Elle devina que chaque couleur représentait une ou plusieurs émotions. Chaque couleur devenait un mouvement de son coeur, une direction de ses énergies, un élan des sentiments, une vibration du ventre, ou du dos, un scintillement des yeux...

Elle devina tout d'un seul coup.

Le rouge, par exemple, le rouge était la couleur de la pasion, du baiser.

L'orange, celle de l'abandon, de l'offrande, du don de soi.

Le jaune celle de la lumière, du jaillissement, du plaisir. Oui, se laisser emporter, confiante, faible comme un sourire de printemps.

Et le vert ? Le vert c'était la couleur de ventre, du mouvement de la vie en elle. De tout ce qu'elle sentait vrai, véritable en elle !

Le bleu, la couleur de la tendresse, des caresses sans fin, de la douceur et aussi de l'espoir.

Le violet, lui, était une couleur plus inquiétante, fermée, sourde. Il y a de la violence dans le violet, de la menace. C'est important de savoir reconnaitre cela en soi.

Violence que l'on porte, violence que l'on provoque parfois... violence qui arrive par des chemins imprévisibles.

Le noir. Ah ! cette couleur noire, là, présente dans l'arc-en-ciel. Couleur de la peur, du diable, diablotin qu'il y avait parfois en elle.

Et puis la couleur blanche, couleur du désir. Du désir infini, multiplie, qui renaissait en elle, parfois timide, d'autres fois plus direct, plus osant !

Cette couleur là est précieuse, indispensable, sans elle les autres couleurs n'existeraient pas. Le blanc est une couleur lumière, qui capte toutes les autres et leur donne plus d'existence.

A partir de ce jour là, la jeune fille, ah !j'ai oubié de vous dire son nom : yanou, sut parler de ses émotions, car il lui suffisait d'en chercher la couleur. elle regardait le ciel, imaginait un arc-en-ciel en cherchait la couleur de l'émotion qui l'habitait.

Bien des années plus tard, elle fut très étonnée d'entendre sa fille lui dire :

-Tu sais, Maman, je suis un arc-en-ciel d'émotions, je les ai toutes quand je danse. J'adore danser. La danse, c'est le chant des émotions...

Des fois, j'éclate quand toutes mes couleurs, je veus dire mes émotions, se mettent à vivre ensemble... oh ! là ! oh ! là ! là ! je vais éclater un jour !

Je ne sais pas si la fille de Yanou éclatera comme elle le craint, ce que je sais, c'est que sa mère avait fait une grande découverte en associant ses émotions aux couleurs de l'arc-en-ciel.

 

"Trois petits mots et puis s'en vont...

Les mots ne s'en vont pas, les paroles ne s'envolent pas, elles se déposent ou continuent de voyager en vibrations subtiles, en invitations silencieuses...

L'essence d'un conte est une parole invisible sertie entre deux mots..." 

Contes à guérir

Contes à grandir

Tout est de  : Jacques Salomé

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 23:35

Bonsoir,

 

Nous voici en 2012.

 

Pour débuter, je vous présente mes voeux les plus emprunts d'espoir de bonheur, beaux moments, de rétablissement, de recommencement, et de d'apaisement (surtout pour les proches de malades).

 

Nous y voici. Cela me paraît quelques fois irréel : 2012 - XXIème siècle : tous ces films qui l'ont évoqué, et bien nous y sommes et nous le VIVONS !!!

 

C'est un message d'espoir que j'ai envie d'écrire ce soir, même si ici tout n'est pas rose tous les jours. Mais les jours passent, je suis là, mes enfants, ma familles, la plupart de mes amis aussi. Et là, je ne sais qui remercier - la vie peut-être !

 

J'avance. Je me sens avancer. j'ai gardé mon plus jeune fils pendant plus d'une semaine. Des retrouvailles spéciales, car à 9 ans on a plutôt envie de profiter de ses copains, mais j'ai aussi senti cette chaleur de coeur qui n'existe qu'entre  son enfant et sa maman (un peu trop rare pendant ces quelques jours à mon goût !)

 

Ayant passé quelques jours à Paris avec lui , je me suis aussi rendu compte d'une part que cette ville n'était pas pour moi en tant qu'habitante, mais que c'était comme on le dit souvent la plus belle ville du monde... Illuminations des avenues et grands magasins, bonne ambiance, jusqu'au chauffeur de métro qui chantait "Mon beau sapin..." - si, si, je vous jure ! Bref, Noël dans une grande ville.

 

Mais dans ma province, c'est bien aussi. Plus calme, moins de monde et c'est bien là que j'avais envie de débuter cette nouvelle année.

 

Se sentir bien là où on est, c'est important. 

 

Je me dis depuis longtemps que 2012 doit être le moment de réfléchir sérieusement à ma vie professionnelle. Et bien j'y suis aussi !

 

Bon, je m'accorde quelques jours quand même...

 

2012, quand-même, ça fait drôle !

 

Tant pis

 

Vie d'avant,

Vie d'enfant,

Vie d'envie,

La belle vie,

Faudrait pas que c'est fini,

Faudrait pas que je suis grand,

Faudrait que j'ai resté petit,

Mais c'est toujours comme ci.

Et voili !

 

Philippe Léotard

(j'adore ! Un écorché qui s'est exprimé jusqu'au bout...)

 

 

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25 décembre 2011 7 25 /12 /décembre /2011 22:37

Bonsoir,mere noel2

 

Tardivement mais non moins sincèrement : Joyeux Noël à tous.

Et même s'il n'est pas vraiment joyeux, qu'il ne vous empêche pas de penser à des jours meilleurs...

 

A bientôt

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18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 13:15

Bonsoir,

 

Peut-être un rapport avec ce que j'ai ressenti récemment.. Mais je n'en suis pas certaine.

 

Voilà, j'ai regardé plusieurs fois ces jours la nouvelle campagne contre l'alcool au volant.

Je suis choquée et effrayée par les répercussions que cela peut avoir.

 

Il y a quelques mois, un spot montrait les effets de l'alcool. Tout court. Au bord d'une plage : vomissements, viol, noyade,... J'ai trouvé cela plutôt bien, violent mais plutot bien. Reflétant à mon sens des réalités.

 

Par contre , ce que j'ai vu aujourd'hui : violent ausssi, voire plus, m'a vraiment choquée. L'alcool au volant, une vraie cause,mais...

"Quand on tient à quelqu'un, on le retient"

 

Même si je comprends le message que l'on souhaite faire passer, comment amener l'entourage, qui a vécu ce genre d'expérience, à culpabiliser autant ?

Comment faire porter l'accident, l'handicap, voire la mort à ceux qui doivent déjà garder cela jusqu'à la fin de leur vie.

 

Ce qui semble avoir été prévu comme une prévention, une sensibilisation de ceux qui cottoient des personnes alcoolisées, se transforme à mon sens en  une punition... à vie.

On sait très  bien que quelqu'un d'alcoolisé ne se rend pas compte de la perte de ses facultés, et qu'il est souvent difficile d'agir pour lui laisser rendre les clés de sa voiture. Quelque fois on y parvient, d'autres pas.

 

Je comprends le message, mais je n'adhère pas à la façon de le faire passer...

 

A bientôt

 

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 20:51

Bonsoir,

 

De façon étonnante pour moi, je ne suis pas enfonçée dans la douleur et la culpabilité.

De la peine j'en ai, beaucoup.

Mais après avoir passé une journée dans ma bulle, je pense aujourd'hui que je ne pouvais rien y faire. De la culpabilité, je passe à la résignation (est-ce le bon mot, je ne sais pas). Je crois qu'il avait choisi depuis un certain temps. Et il a choisi.

Je regrette bien sûr de ne pas avoir répondu à son sms. Bien sûr que je le regrette. Mais je pense que cela n'aurait rien changé.

Je comprends que je ne peux pas sauver tous ceux qui vont mal.

J'ai passé une étape supplémentaire. Dans la douleur...

 

A bientôt

PS : Il se trouve qu'il s'agit bien de lui sur la photo que j'ai ajoutée à mon précédent message.

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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 20:36

DSC03095Pascal,

 

J'espère que là où tu es tu pourras lire ces quelques mots.

Je ne suis pas - plus - croyante , mais cela fait du bien d'imaginer que tu n'es pas loin...

 

Nous nous sommes connus en cure. Nous avons pris le petit déjeuner, le déjeuner et le souper ensemble (pas en tête à tête, mais avec 3 autres personnes toutes aussi importantes à notre table) pendant quasiment 4 semaines. Ca n'est pas rien ! Plus les moments de la journée que nous partagions aussi...

 

Et puis il y a eu cette matinée où nous sommes partis en forêt avec R.. Tous les 3, en amis. Je me sentais la petite fille qui avait tout à apprendre. Et c'était vrai. En m'appelant tous les deux BB, je découvrais les termes de chasse que j'étais à mille lieux d'imaginer.

Nature, marche, découverte, amitié, voilà ce que je retiens de ces 8 kms à pied que j'étais fière de  raconter, voire crier aux autres !!!

 

La cure terminée, nous sommes restés en contact.

 

Et là, l'homme réservé, le grand et fort homme de chasse , s'est dévoilé peu à peu...

Et là la faiblesse, le désarroi, la solitude sont apparus à mes yeux...

Nous nous sommes téléphoné souvent, oui bien souvent pour parler de toi, de moi -  tu voulais toujours savoir comment j'allais - et je me livrais aussi...

 

Souvent tu m'a parlé de suicide et nous avons échangé sur le sujet. Je t'ai parlé de mes trois tentatives, j'essayais.

 

Je te sentais rongé par le mal-être et la solitude, de plus en plus. Tu me disais, que seul dans ta maison tu repeignais pour t'occuper.

La dernière fois que je t'ai parlé, tu m'as dit que tu partais pendant un moment en Turquie.

 

Le 15 nov. tu m'envoyais un sms : "Slt. Comment vas tu ?". Et je n'ai pas répondu.

Après, je me suis dit bêtement qu'après la Turquie tu allais mieux du fait que je n'avais pas de nouvelles.

 

Le 17 nov., tu décidais de partir. Je l'ai appris tout à l'heure.

 

Trois semaines. Oui trois semaines que tu as décidé de prendre la corde plutôt que le fusil, comme tu me le disais. Et moi, je pensais que ça pouvait aller...

 

Pascal, je suis désolée de ne pas avoir répondu à ce sms, même si ça n'aurait rien changé.

 

Je pense à toi

 

 

 

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 17:44

Bonsoir,

 

J'y arrive enfin ! (malgré un chat qui se promène sur le clavier comme s'il voulait défier ma volonté d'écrire !).

Bien, passons au vif du sujet : je vais mieux, même si la fragilité est bien là... Je me sens réagir de jour en jour, petitement.

J'ai l'impression que je tente de prendre  ma vie en main (cela n'est peut-être qu'une impression ?).

 

Je fais le tri : chez moi - très doucement ! - autour de moi - plus sûrement...

Tout cela m'a amené à prendre des décisions plus ou moins agréables, mais nécessaires.

 

Ayant relu mon dernier billet avant d'écrire, je reste sur mes positions. Aller vers le haut ou le bas ? Malgré le bien que l'on peut recevoir d'une personne, je pense que la souffrance que l'on peut ressentir aussi ne doit pas faire culpabiliser et accepter tout : "parce qu'il a été gentil" à un ou plusieurs moments...

C'était mon retour succin, mais c'est un début et je pense à vous mes lecteurs encourageants et patients...

 

A bientôt. Peut-être... Sûrement !

 

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6 novembre 2011 7 06 /11 /novembre /2011 13:16

Bonjour,

De retour brièvement, mais je n'ai pas résisté...

Coup de gueule après des jours assez difficiles à gérer.


Voilà, c'est fait ! J'ai fait le voyage pour partager des moments avec mon fils et être là lors de sa toute nouvelle rentrée scolaire.

 

Rassurée. pour lui : il m'a fait visiter sa nouvelle ville, qu'il connaisait déjà. Il m'a montré les endroits qu'il aime et son domicile avec son papa.

Je l'ai trouvé serein et même impatient d'aller dans sa nouvelle école.

Cela s'est confirmé jeudi matin, et jeudi soir au téléphone : "C'était trop bien. Ma maîtresse est super gentille..."

 

Pour ma part, même si j'étais aussi excitée que lui, je suis rentrée rassurée. Et le contre coup s'est fait ressentir le lendemain de mon retour.

Plus de petit garçon avec qui discuter (même si le téléphone et internet fonctionnent bien. Mon fils le plus âgé est là (ou presque - copains et travail obligent - pour le week_end).

 

Coup de gueule, pourquoi ?

Parce qu'essayant de passer cette épreuve comme je le peux (cela me semble plutôt humain d'être "chavirée" après avoir pris une telle décision et d'avoir vécu ces moments pleins d'émotions). j'ai été confrontée, en prime, à une méchanceté des plus pathétiques !

 

Sans rentrer dans les détails et même si j'ai des torts, je retiens ces mots : "Tu a choisi l'alcool plutôt que ton nain" (nain parce que le mot enfant est bien trop compliqué à exprimer pour quelqu'un qui n'a pas été capable de s'occuper du sien)

"... Continue de te saouler, ça tu sais bien le faire...je n'ai pas envie de me trimbaler une grosse moche..."


Parfait pour le respect, la culpabilité,...

 

Coup de gueule, car de quel droit peut-on traiter l'être humain de telle façon ? Au titre d'un plaisir à se procurer ? Je le plains. Sa colère et son venin se sont déversés sur moi (pas de chance, ça n'était vraiment pas  le bon moment cette fois-ci). Je le plains d'avoir autant de rancoeur, d'être aussi aigri... et aussi méchant. Tout le monde en prend pour son grade, même ses amis (mais pas en face bien sûr, sinon il n'en aurait plus). Hier c'était pour moi.

Coup de gueule. Contre moi aussi. Je n'ai pas réussi (encore une fois) à me protéger de personnes aussi toxiques. Je ne me suis concentrée  sur ces moments agréables qui existaient toutefois, même si je pense qu'il y trouvait un intérêt.

 

Bon vent à ce genre de personne qui m'inspire plus de pitié qu'autre chose, mais qui toutefois sait très bien trouver les mots qui font plus que mal pour se faire du bien. L'égoïsme dans toute sa splendeur !

 

A bientôt. Peut-être...

 

 

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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 13:20

Bonjour,

Ce silence n'avait pas de hasard : période difficile.

Je n'y suis pas arrivée, je n'ai pas réussi.

Je ne suis pas arrivé à maintenir les bienfaits des soins, même si je me ressaisis... encore une fois...

Je ne suis pas arrivé : à conserver mon travail,

à regagner la confiance de mon entourage,

à conserver des projets de vie qui me tenaient tellement à coeur...

Et surtout,

Je ne suis pas arrivé : à aider mon fils aîné dans ses projets,

à m'occuper convenablement de mon plus jeune fils.

Alors j'ai pris la décision qui se profilait, que je refusais d'envisager avec l'espoir que tout change rapidement. Mais cela fait plus de 4 ans que cela dure...

J'ai pris la décision qui s'imposait : mon fils va vivre chez son papa dès la semaine prochaine. A 350 kms.

Je tente de me persuader que c'est la bonne décision : tout se passe bien avec son père, mon état lui transmet trop d'inquiétude, de colère qui rendent le quotidien pénible pour lui (et pour moi), influençant son comportement à l'extérieur (école, centres d'animation...). C'est son avenir qui se prépare actuellement. L'entrée au collège aura lieu dans 2 ans, et alors qu'il travaille très bien, la colère qu'il a en lui risque de lui porter préjudice...

Mais alors que son départ approche je me sens de plus en plus coupable de lui avoir fait vivre tout cela (et à son frère notamment), sans pour autant pouvoir revenir en arrière.

J'ai l'impression de l'abandonner. De le perdre...

Comment vit-il cela ? Dans l'inquiétude encore une fois. Content bien sûr d'aller rejoindre son père, mais le changement d'école, la séparation avec ses copains restent l'essentiel de sa nouvelle souffrance. Tout le monde essaie de l'accompagner comme il le peut...

J'ai l'impression de vivre quelque chose d'inconcevable, et pourtant NOUS le vivons. Nous y sommes, devant ces conséquences tellement terribles.

Je n'ai pas réussi à poursuivre ma route avec ceux qui me sont le plus chers.

DÉCEPTION, CHAGRIN, EPUISEMENT.


Nos états d'âme, c'est ce qui reste en nous après que le train de la vie est passé.

Christophe André

C'est lui qui l'a dit...

A bientôt. Peut-être. Car je me demande aujourd'hui si ce blog a un quelconque intérêt.

 

 

 

 

 

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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 22:13

Bonjour,

 

Très rapidement je vous donne un lien.

 

Ce matin, j'ai passé une nouvelle étape qui me tenait à coeur : une émission de radio sur la maladie.

 

C'est fait ! Non sans émotion...

 

A bientôt pour des commentaires !

 

 

http://www.radiormb.com/podcasts/l-invite-du-jour-4/vivre-en-alcoolodependance-2765.html

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  • : Dignes du bonheur
  • : L'alcool et moi : une grande histoire ! Ca va, ça vient... Aussi, j'ai envie de partager mon expérience...
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"Comme un serpent qui mue, je dois perdre mon ancienne peau, imprégnée de goûts et d'arrière-goût d'alcool."
Hervé Chabalier - Le Dernier pour la Route

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